Critiques jeux: Horror/Survival
Bien le bonjour à vous!
En cette belle fin d'année, j'espère que vous passez toutes et tous un très beau temps des fêtes. Pour ma part, ça été assez tranquillo-babane, et je dois l'avouer, j'ai bien aimé!
Pour Noël, j'ai fait plaisir à mon copain, et j'ai acheté pour nous (mais surtout pour lui!) un XBox 360. J'en imagine pas mal qui font la grimace, mais bon, c'est ce qu'il me demande depuis plus de deux ans, et comme il me répète sans arrêt qu'il y a des jeux qui sont uniquement pour la XBox et que la très grosse majorité (du moins, les plus populaires) des jeux de la PS3 se retrouvent aussi sur la console de microsoft, j'ai décidé de lui faire plaisir à lui seul et d'en acheter une.
Maintenant, depuis que nous avons cette console, nous nous sommes gâtés en commençant par jouer à des jeux d'horreur. Ceux qui me connaissent assez savent que je suis une adepte de ce genre de jeux. Bien que je suis incapable de jouer moi-même (pas parce que j'ai peur, mais bien parce que je suis incapable de faire bouger les satanés personnages et que je meurs après 5 minutes de jeu (croyez-moi, j'ai essayé avec Silent Hill 1!)), je suis toujours à la recherche de sensation d'épouvante, mais aussi d'histoires plus étranges et noires que les précédentes. Voici mes critiques pour les deux premiers jeux que nous avons jouer, Yannick et moi.
De base, c'est l'un des premiers jeux d'horreur que j'ai joué, alors qu'il était sur la playstation 1 et depuis, je l'avoue, lorsque je suis nerveuse ou anxieuse durant une certaine période, je rêve à des zombies. Ce qui m'avait fait le plus peur, était le regard et le visage du premier Zombie qu'on voit dans le tout premier jeu du même nom. Je crois que je n'en avais pas dormi pendant 3 jours!
Dès que j'ai écouté la critique à la télévision via l'émission Monsieur Net, j'ai voulu y jouer. Voilà que j'ai eu cette chance la semaine passée!
En cette belle fin d'année, j'espère que vous passez toutes et tous un très beau temps des fêtes. Pour ma part, ça été assez tranquillo-babane, et je dois l'avouer, j'ai bien aimé!
Pour Noël, j'ai fait plaisir à mon copain, et j'ai acheté pour nous (mais surtout pour lui!) un XBox 360. J'en imagine pas mal qui font la grimace, mais bon, c'est ce qu'il me demande depuis plus de deux ans, et comme il me répète sans arrêt qu'il y a des jeux qui sont uniquement pour la XBox et que la très grosse majorité (du moins, les plus populaires) des jeux de la PS3 se retrouvent aussi sur la console de microsoft, j'ai décidé de lui faire plaisir à lui seul et d'en acheter une.
Maintenant, depuis que nous avons cette console, nous nous sommes gâtés en commençant par jouer à des jeux d'horreur. Ceux qui me connaissent assez savent que je suis une adepte de ce genre de jeux. Bien que je suis incapable de jouer moi-même (pas parce que j'ai peur, mais bien parce que je suis incapable de faire bouger les satanés personnages et que je meurs après 5 minutes de jeu (croyez-moi, j'ai essayé avec Silent Hill 1!)), je suis toujours à la recherche de sensation d'épouvante, mais aussi d'histoires plus étranges et noires que les précédentes. Voici mes critiques pour les deux premiers jeux que nous avons jouer, Yannick et moi.
1) Resident Evil 5
De base, c'est l'un des premiers jeux d'horreur que j'ai joué, alors qu'il était sur la playstation 1 et depuis, je l'avoue, lorsque je suis nerveuse ou anxieuse durant une certaine période, je rêve à des zombies. Ce qui m'avait fait le plus peur, était le regard et le visage du premier Zombie qu'on voit dans le tout premier jeu du même nom. Je crois que je n'en avais pas dormi pendant 3 jours!
Dans ce cinquième chapitre, on retrouve justement l'un des héros du premier, Chris Redfield. Depuis le temps, personnellement je l'avais un peu oublié, alors que les réalisateurs favorisaient davantage Leon et Claire. La plus part de vous, gamer dans l'âme, vous devez savoir qu'il y a eu beaucoup de controverse sur ce Resident Evil puisque l'histoire se passe en Afrique, donc on tire sur des noirs. Ben oui, comme on tirait sur des polonais ou je sais pas trop quelle nationalité dans le 4, ou des caucasiens dans les autres. Finalement, j'ai l'impression qu'on a manqué de couille et qu'on a décidé de mettre d'autres races pour pas faire d'la pépeine à la communauté noire. Ben oui, on y trouve des arabes et d'autres qu'on est pas trop sûr.
Sinon, l'histoire reste la même depuis Resident Evil 4. On n'a plus les zombies désireux de chaire et de cerveau, ils ont un esprit, ils sont intelligent et ils se parlent entre eux. Personnellement, je m'ennuie du genre de survival ou on doit se sauver des corps morts. Voir des zombies bouger aussi vite qu'une tortue, mais dès que quelqu'un de vivant les croisent, ils deviennent possédés et veulent absolument leur dose de «vivant» sous la dent.
Mise à part la trop grande ressemblance avec le 4, on doit l'avouer, les graphiques sont superbes et l'idée d'intégrer un deuxième joueur jouant l'acolyte de Redfield dans l'histoire est intéressante. Cependant, nous n'avons pas pu voir si ça valait la peine... Nous n'avons qu'une seule manette... merde!
De plus, les créateurs du 5 a eu l'idées d'intégrer beaucoup plus d'information sur les jeux antérieur, ce qui fait qu'on a l'histoire au grand complet jusqu'à maintenant sur ce qui se passe depuis la création de la méchante compagnie Umbrella. Si vous aimez la lecture, vous allez probablement vouloir en savoir davantage sur leurs magouilles, tout autant que sur les personnages qu'on retrouve dans l'histoire.
D'ailleurs, je dois l'admettre, rejouer le grand frère de Claire m'a vraiment donné le goût de rejouer au tout premier Resident Evil, avec son immense baraque et ses zombies au conscient intellectuel de -40 et au sang noir. (8/10)
2) Alan Wake
Dès que j'ai écouté la critique à la télévision via l'émission Monsieur Net, j'ai voulu y jouer. Voilà que j'ai eu cette chance la semaine passée!
l'histoire est assez particulière. Alan Wake est un écrivain très populaire qui attrape la pire chose qui peut affecter un artiste: le syndrome de la page blanche. Il décide donc de partir en campagne avec sa femme, Alice et décide de prendre du repos dans un chalet, loin de tout tracas. Mais c'est dans ce chalet mystérieux que son cauchemar commence.
Séparé en 6 épisodes, comme une série télé, ce jeu fout vraiment la trouille. Pour avoir «jouer» à beaucoup de jeux de ce genre, il est dans la liste de ceux qui m'ont fait crier de peur, et croyez-moi, elle est pas très longue. Tout le long de son cauchemar, confrontant la Noirceur VS la Lumière, on est dans un tourbillon de suspense. De plus, il est difficile de savoir si on est dans un rêve ou si l'horreur dépasse la réalité.
Aussi, le jeu offre la langue anglaise ou française, et nous avons été agréablement surprise par la traduction française. Veuillez noter que l'homme prêtant sa voix à Éric Cartman dans SouthPark ou Sam dans le Seigneur des anneaux, est également dans le jeux, et croyez-moi, c'est assez difficile de garder son sérieux quand on l'entend chialer, 'ça en devient carrément comique, étrange mélange quand on est censé être dans un sentiment de peur et d'inconfort.
Pour ce qui est de la musique, je l'ai trouvé particulièrement bonne. On y retrouve bien entendu des trames plus sombre et qui s'avèrent efficace lorsqu'on se sauve des méchants, mais il y a aussi quelques pièces d'artistes connus qu'on pourrait facilement retrouver dans un poste de radio local d'une petite municipalité campagnarde. C'est donc un mélange de Folk, de Blues, et de vieux Rock des années 70 qu'on se calme avant de reprendre le voyage à travers les ombres.
Sérieusement, c'est l'un des très bons jeux d'horreur que j'ai pu voir et apprécier. D'ailleurs, j'ai su qu'en allant sur le XBox LIVE, on peut se télécharger deux autres épisodes pour clore définitivement le jeu. Et on a bien l'intention d'aller les chercher! (9/10)
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